Le groupe nominal (en finnois nominaalilauseke), abrégé GN, est considéré généralement comme un des éléments de la phrase de base. Il est composé d’un ou de plusieurs éléments. Il comporte au minimum un nom, généralement précédé d’un déterminant, et il peut être accompagné par exemple par un ou plusieurs adjectifs antéposés ou postposés :
préposition | Déterminant | (adjectif) | nom | (adjectif) |
---|---|---|---|---|
Hector | ||||
cette | chère | Sophie | ||
un | chat | blanc | ||
du | bon | beurre | breton | |
ces | petits | enfants | finlandais blonds |
Quand le groupe nominal est précédé d’une préposition, il forme avec celle-ci un groupe prépositionnel :
préposition | Déterminant | (adjectif) | nom | (adjectif) |
---|---|---|---|---|
chez | Hector | |||
pour | notre | petite | Sophie | |
à côté d’ | un | chat | blanc | |
avec | du | bon | beurre | breton |
parmi | ces | petits | enfants | finlandais blonds |
Les déterminants s’accordent généralement en genre et en nombre avec le nom qu’ils déterminent. Dans certains cas, la forme peut également varier selon des critères phonétiques, selon que le nom commence par une consonne ou par une voyelle (cliquer sur les liens pour voir la liste des formes de chaque déterminant) :
masculin : ce livre ~ cet ami (devant voyelle ce prend la forme cet)
féminin : ma sœur ~ mon épouse (devant voyelle ma prend la forme mon)
De même, devant voyelle, les voyelles des articles le et la sont élidés (heittyvät) :
le bois, la pièce ~ l’aspect, l’arrivée
Ceci pose traditionnellement de nombreux problèmes aux apprenants de français langue étrangère de toutes origines linguistiques, car dans certains cas, le masculin se prononce comme le féminin (ou l’inverse) :
le livre ~ la tasse mais
l’ami = l’histoire (pas de différence entre masculin et féminin)
ce livre ~ cette tasse mais
cet ami = cette histoire (cet et cette se prononcent de la même manière)
mon livre ~ ma tasse mais
mon étudiant = mon étudiante (pas de différence entre masculin et féminin)
Les apprenants de français langue étrangère hésitent souvent à mettre une forme du masculin devant un nom féminin et trouveront plus logique de dire par exemple *ma amie.
À l’intérieur du groupe nominal, à l’oral, il y a aussi une autre marque qui peut servir à indiquer le nombre, la liaison (sidonta) : cher ami /ʃɛʁami/
vs chers amis /ʃɛʁzami/
. Dans un groupe comme mes anciennes étudiantes, il y a trois marques de pluriel à l’écrit (forme mes, lettre s à la fin de l’adjectif et du nom) et trois marques à l’oral (forme mes, phonème /z/
à la fin de mes et de l’adjectif anciennes).
Les règles d’accord décrites ci-dessus sont encore compliquées par le fait que dans certains cas, elles ne s’appliquent pas :
Dans certaines langues (allemand, suédois, finnois, anglais etc.), la lettre h transcrit un phonème prononcé /h/
, comme dans haihatus en finnois. En français, ce phonème n’existe plus depuis très longtemps (il avait déjà disparu en latin), même s’il survit dans certains parler régionaux en France.
Cependant, certains mots français qui commencent par un h empêchent l’élision, la liaison et la transformation de certains déterminants au féminin. On dit couramment que ces mots commencent par « h aspiré ». En réalité, dans les langues où /h/
existe, il n’est pas aspiré (sisään hengitetty), mais expiré (ulospäin puhallettu). De toute façon, le phonème /h/
n’est pas utilisé en francais et la lettre h ne transcrit aucun phonème (en espagnol non plus). On l’écrit par tradition orthographique, mais cet h écrit ne se « prononce » pas.
Cependant, cet h dit aspiré « s’entend » à l’oral parce qu’il empêche la liaison entre un déterminant et un nom ou entre une préposition et un déterminant, comme si le mot commençait par une consonne invisible. C’est pour cette raison qu’on l’appelle h disjonctif (de disjoindre erottaa), ce qui pourrait se traduire en finnois ”erotteleva h” :
un‿auteur /ɛ̃notɶʁ/
~ en // hauteur /ɑ̃otɶʁ/
les‿hivers /lezivɛʁ/
~ des // hiboux /deibu/
ces‿habit /sezabi/
~ ces // haricots /seaʁiko/
sans‿hésiter /sɑ̃zezite/
~ sans // hâte /sɑ̃at/
Le terme de konsonanttinen h utilisé parfois en finnois pour décrire cet h en français est donc assez juste. Voir explications et exemples dans le Guide de prononciation, et exercices 11.10, 12.7, 12.8, 12.9.
De plus, cet h correspondant à une sorte de consonne invisible a aussi des conséquences importantes sur le plan grammatical, car il empêche les transformations des déterminants présentées ci-dessus :
a) il empêche l’élision (alkuvokaalin heittyminen) :
Devant un mot commençant par une voyelle ou un h non disjonctif : élision de a ou de e
l’aspect, l’arrivée, de l’argent
l’hiver, l’habitude, de l’humour
Devant un mot commençant par consonne ou h disjonctif : pas d’élision
le bois, la pièce, de la chance
le hibou, la hanche, de la hauteur
b) il empêche la transformation des déterminants au féminin :
masculin : Ma ta sa → mon ton son devant un mot avec voyelle ou h non disjonctif :
féminin :mon ordinateur, ton exposé, son intervention
mon habitude, ton habileté, son hésitation,
Ma ta sa ne sont pas modifiés devant un mot avec consonne ou h disjonctif :
ma maison, ta voiture, sa réflexion
ma hantise, ta hanche, sa hiérarchie
c) il empêche la transformation de ce en cet :
Ce → cet devant un mot avec voyelle ou h non disjonctif :
cet avion, cet usage, cet embouteillage,
cet hiver, cet hôtel, cet héritage
Ce n’est pas modifié devant un mot avec consonne ou h disjonctif :
ce livre, ce défaut, ce tournevis
ce haricot, ce hublot, ce héros
Il y a environ 60 mots français commençant par un h disjonctif, auxquels s’ajoute toute une quantité de mots d’emprunt, notamment anglais. Il n’y a aucun moyen de deviner si un h est disjonctif ou non (sauf si c’est un mot emprunté à l’anglais, auquel cas l’h est toujours disjonctif). La seule solution est d’apprendre par cœur les mots français les plus fréquents (hauteur, haut, haricot etc.) ou bien de vérifier dans un dictionnaire ou dans la liste des mots commençant par un h disjonctif.
Le déterminant est l’élément du groupe nominal qui se place avant le nom ou le groupe formé par un nom et un (ou plusieurs) adjectif(s) : déterminant (adjectif) nom (adjectif). Le déterminant permet de donner des informations sur le genre, le nombre ou le sens du nom et ses rapports sémantiques avec le contexte.
Le déterminant permet de transformer tout constitutant de phrase (verbe, adjectif, adverbe etc.) en un nom qui fait partie d’un groupe nominal :
jaune (adjectif) → un jaune éclatant ■ peu (adverbe) → le peu que je sais ■ pourquoi (adverbe interrogatif) → Il faut trouver le pourquoi de cette attitude. ■ manger (verbe) → son manger ■ quatre (déterminant numéral) → un quatre nelonen ■ pourquoi / comment (adverbes ou conjonctions) → le pourquoi et le comment de cette tragédie ■ Je ne sais quoi (proposition) → un je-ne-sais-quoi.sitä jotakin
En français, les noms (avec ou sans adjectif) sont en général précédés d’un déterminant (il y a des exceptions). Ce n’est pas le cas en finnois : L’enfant lit un livre, en finnois : Lapsi lukee kirjaa sans aucun déterminant.
Il y a plusieurs types de déterminants : les déterminants démonstratifs, possessifs, interrogatifs etc. (voir liste). L’article (indéfini ou défini) ne porte pas le nom de « déterminant », mais il fait aussi partie de la catégorie des déterminants.
Les déterminants peuvent être un mot simple ou bien être composés de plusieurs mots :
un chat blanc, mon frère Jean-Jacques, certains amis, cette manière, très peu de gens, la France, beaucoup de touristes, quantité de problèmes etc.
Remarque : en français, le déterminant était autrefois appelé « adjectif ». On utilisait les termes suivants : adjectif démonstratif (= déterminant démonstratif), adjectif possessif (= déterminant possessif), adjectif indéfini (= déterminant indéfini) etc. Le terme d’« adjectif » se rencontre encore dans des manuels de grammaire plus anciens (et même récents) édités en France et ailleurs.
On classe habituellement les déterminants dans deux catégories, les déterminants définis et les déterminants indéfinis.
Les déterminants définis indiquent que le référent (tarkoite) du nom qu’ils déterminent est identifiable de façon univoque (yksiselitteisesti) grâce au contexte ou au savoir commun partagé par le locuteur et la personne à qui il s’adresse. Les déterminants définis sont :
Révise les conjugaisons, et ton français s’améliorera. ■ Le professeur a emmené ses élèves en excursion. ■ Notre nouvelle maison a un garage. ■ Ces enfants sont des élèves de l’école primaire. ■ Cette histoire est invraisemblable.
Les déterminants indéfinis forment une classe de déterminants fourretout (sekalainen) dans laquelle on regroupe tout les déterminants qui ne sont pas un article défini ou un déterminant possessif ou démonstratif. On peut distinguer plusieurs sous-catégories, qui ne sont que des manières parmi d’autres de regrouper certains déterminants indéfinis sur des critères sémantiques ou formels :
Déterminants définis | |
---|---|
Article défini | le/la/les |
déterminants démonstratifs | ce/cet/cette/ces |
déterminants possessifs | mon/ma/mes, ton/ta/tes, son/sa/ses, notre/nos, votre/vos, leur/leurs |
Déterminants indéfinis | |
nature indéfinie | un, des, certains, différents, certains, chaque… |
quantité indéfinie | des, quelques, plusieurs, maints, beaucoup de, peu de, assez de, trop de, un grand nombre de… |
interrogatifs et exclamatifs | quel/quelle/quels/quelles |
numéraux | un, trois, vingt-et-un, cent-deux, mille… |
relatifs | lequel/laquelle/lesquels/lesquelles |
Exemples :
Déterminants indéfinis :
Je vous ai donné différents exemples pour illustrer certains aspects caractéristiques. ■ La pluie a duré plusieurs jours. ■ Presque chaque matin, je vais à la piscine. ■ Il a mangé tous les chocolats. ■ Il ne sera fait aucune exception. ■ Marc n’a pas beaucoup de disques. ■ Il y avait peu de touristes sur la place.
Déterminants exclamatifs ou interrogatifs :
Quel livre veux-tu ? ■ Quelle émission préfèrez-vous ? ■ Quelle aventure nous avons vécue !
Déterminant relatif :
Vous serez peut-être absent, auquel cas vous me préviendrez.
Déterminants numéraux :
Je reviens dans deux heures. ■ Le kilo coute trente euros. ■ L’année dure 365,25 jours.
Les déterminants composés, qu’on appelle aussi déterminants complexes, sont des déterminants formés de plusieurs mots. Les déterminants composés les plus fréquents sont les déterminants indéfinis formés d’un adverbe (beaucoup, peu, tellement) ou d’un nom ou groupe nominal auxquels on ajoute le mot de :
adverbe + de : beaucoup de, tant de, trop de, peu de, énormément de, plus de, moins de, guère de, infiniment plus de, pas mal de…
nom / groupe nominal + de : quantité de, nombre de, un certain nombre de, une espèce de, une sorte de, toute sorte de, un tas de, un kilo de, une foule de, un paquet de, une dose de…
Ces déterminants composés occupent la même position que le déterminant simple, selon un schéma régulier :
Les deux amis ont regardé | un | film. |
Les deux amis ont regardé | des | films. |
Les deux amis ont regardé | plusieurs | films. |
Les deux amis ont regardé | quelques | films. |
Les deux amis ont regardé | beaucoup de | films. |
Les deux amis ont regardé | peu de | films. |
Les deux amis ont regardé | quantité de | films. |
Les deux amis ont regardé | nombre de | films. |
Les deux amis ont regardé | toute sorte de | films. etc. |
Quand un déterminant indéfini composé avec de se combine avec l’article défini, il peut secontracter avec l’article :
mes amis : beaucoup de + mes amis → beaucoup de mes amis monet ystävistäni ■ ces exemples : nombre de + ces exemples → nombre de ces exemples monet niistä esimerkeistä ■ la fin : beaucoup de + la fin → Je n’ai pas vu beaucoup de la fin du film. En nähnyt paljoakaan elokuvan lopusta. [pas de contraction avec la]. ■ les amis : beaucoup de + les amis → Beaucoup des amis que j’ai vus étaient bronzés. Monet tapaamani ystävät olivat ruskettuneita. [de + les donne la forme contracte des]
Il est donc tout à fait possible de dire beaucoup du, beaucoup des malgré ce que divers manuels finlandais enseignent et de nombreux apprenants s’imaginent :
Beaucoup du temps qu’on perd à faire la queue dans une banque pourrait être évité avec une meilleure gestion de l’espace. ■ L’opinion ne perçoit pas l’utilité de beaucoup des réformes entreprises, qui sont couteuses et engendrent la pagaille.
Dans les tournures exclamatives, le déterminant composé dont le dernier élément est de peut être séparé en deux parties. Le mot de reste à sa place normale devant le nom, mais le premier élément du déterminant se place au début de la proposition :
On n’a pas réussi à avoir de billets, tant il y avait de monde ! (< Il y avait tant de monde.) ■ L’inventivité des annonceurs pour drainer les foules vers leurs services parait illimitée, tant la technologie offre de possibilités nouvelles (< offre tant de possibilités). ■ Cette rencontre avec mes anciens amis m’a déçu, si peu on a eu de temps pour se voir (< on a eu si peu de temps).
On peut utiliser deux déterminants devant le nom. Ils forment alors un groupe déterminant. L’un des déterminants doit être un déterminant défini, l’autre, un déterminant indéfini :
ces deux voitures, les quelques personnes qui étaient présentes, leurs quatre enfants, ces divers exemples
L’adjectif indéfini tout utilisé avec un déterminant défini ou indéfini forme aussi un groupe déterminant :
toutes les deux voitures, toute la journée, tout mon équipement, toute cette histoire
Il y a une différence entre le déterminant composé et le groupe déterminant. Les éléments d’un groupe déterminant peuvent aussi s’utiliser seuls comme déterminants :
leurs deux voitures → leurs voitures/deux voitures, les quelques personnes qui étaient présentes → les personnes/quelques personnes qui étaient présentes etc.
En revanche, les éléments qui forment un déterminant composé ne peuvent généralement pas s’utiliser seuls comme déterminants (mais ils peuvent s’utiliser seuls dans d’autres fonctions) :
On m’a offert beaucoup de fleurs. → On m’a offert *beaucoup fleurs / On m’a offert *de fleurs.
Pour des raisons sémantiques, on ne peut pas combiner deux déterminants définis ou deux déterminants indéfinis, parce qu’on ne marque pas deux fois le caractère défini ou indéfini. On ne peut pas non plus combiner n’importe quel déterminant avec n’importe quel autre. En finnois non plus, on ne peut pas dire *ne nuo lelut ou *jotkut eräät ihmiset etc. Les constructions suivantes sont agrammaticales :
*Il discutait avec les ses amis. ■ *Tu as vu ce mon livre. ■ *J’ai lu de différents livres. [de est un article indéfini pluriel, différent est un déterminant indéfini] ■ *De certaines gens prétendent le contraire. ■ dans *trois différents cas (lire…)
C’est pour cette raison qu’on ne peut pas utiliser l’article indéfini des/du après un autre déterminant indéfini : *beaucoup de + des, *beaucoup de + du. On utilise seulement un seul déterminant (beaucoup de, plus de…) :
beaucoup de *des livres → beaucoup de livres ; plus de *du beurre → plus de beurre ; peu de *du vin → peu de vin ; trop de *du sel → trop de sel
Contrairement à ce qu’on enseigne généralement dans la tradition didactique finlandaise du français langue étrangère, après beaucoup de ce n’est donc pas l’article défini qui disparait, mais l’article indéfini.
Dans la terminologie grammaticale finlandaise traditionnelle, on ne connait pas la notion de déterminant. En finnois, il n’y pas d’article ni de déterminants possessifs, et les autres déterminants du français (démonstratifs, indéfinis, relatifs, interrogatifs, exclamatifs) sont désignés du terme de pronomini. En finnois, dans la phrase
Mikset ostaisi tätä vihreää kaulahuivia siskollesi? Se näyttää niin pehmeältä! – Hän ei oikein pidä vihreästä, ostan hänelle tämän, punainen on hänen lempivärinsä.
les deux mots tätä et tämä sont considérés comme des « pronoms démonstratifs » (demonstratiivipronomini). En français, le terme de pronom est réservé à un mot qui « remplace » un groupe nominal (ou un autre élément de la phrase). Dans la phrase :
Pourquoi tu n’offrirais pas cette écharpe à ta sœur ? Elle est si douce au toucher ! – Oui, mais elle n’aime pas le vert, je vais prendre celle-là, le rouge est sa couleur préférée.
le mot cette est en français considéré un déterminant démonstratif, tandis que celle-là est un pronom démonstratif. En finnois, on ne fait pas de distinction entre tämä déterminant et tämä pronom. En français, cette distinction est nette ; les déterminants et les pronoms correspondants ont souvent des formes différentes :
finnois | français | |
---|---|---|
pronomini | déterminant | pronom |
tämä nämä | ce ces | celui-là, celle-là ceux-là, celles-là |
muutama | quelques | quelques-uns |
jokainen | chaque | chacun(e) |
La grammaire du finnois Iso Suomen kielioppi continue d’utiliser pour les mots comme tämä (« ce ») le terme unique de pronomini, dont elle précise qu’il peut s’employer comme un GN « indépendant » ou comme un adjectif, mais elle présente et utilise assez souvent également le terme de tarkenne (VISK §569 et suivants), qui équivaut exactement à « déterminant ». On trouve ainsi les termes :
demonstratiiviset tarkenteet déterminants démonstratifs : tätä suurta tapahtumaa (= ce grand évènement), se kevät (= ce printemps) ;
interrogatiiviset tarkenteet déterminants interrogatifs : Kuka itseään kunnioittava kirjailija… (= Quel écrivain qui se respecte…) ;
kvantifioivat tarkenteet déterminants de quantité : muutamat kuvat (= quelques images) ;
indefiniittiset tarkenteet déterminants indéfinis : jokaiselle työryhmälle(= à chaque groupe de travail).
On pourrait donc facilement utiliser ce terme de« tarkenne » en finnois pour faire comprendre le sens et la fonction du déterminant en français.
15. Le groupe nominal et déterminant. Mise à jour 29.2.2024